Après avoir gonflé ses muscles durant quelque temps, le chef d’Etat américain semble être revenu sur la même ligne politique que ses prédécesseurs à la Maison-Blanche au sujet de la Corée du Nord, autrement dit faire confiance à la Chine afin d’assurer un certain contrôle sur Pyongyang.
Pas de porte-avions
Un responsable américain de la Défense a reconnu mardi que la flotte disposant d’une puissance de feu conséquente que Donald Trump avait promis d’envoyer au large des côtes de la Corée du Nord n’avait même pas commencer à naviguer vers cette zone.
En effet, le porte-avions Carl Vinson et son escorte se dirigeraient en réalité vers l’Australie afin de participer à des exercices militaires.
Désormais, Washington s’en remettrait à la Chine afin que celle-ci exerce suffisamment de pressions politiques et économiques sur son voisin nord-coréen afin que ce dernier stoppe ses essais nucléaires.
Si les experts annoncent que la Chine n’a pas de raisons particulières de mettre à exécution ces pressions, ce qu’elle avait déjà promis de par le passé, le président américain a tout de même annoncé qu’il était confiant quant à la résolution de ce conflit avec l’aide de Pékin.
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