Les travailleuses espagnoles ont célébré la Journée internationale de la femme par une grève sans précédent, avec pour cible l’inégalité entre les sexes et la discrimination sexuelle.
Jour de grève
En Espagne, le travail a été interrompu dans le cadre d’une grève de 24 heures organisée par la Commission du 8 mars et soutenue par 10 syndicats et certaines des plus hautes femmes politiques d’Espagne.
Des centaines de marches avec le slogan « si on arrête, le monde s’arrête » étaient organisées.
Des événements en rapport avec la Journée internationale de la femme étaient également organisés dans des dizaines d’autres pays à travers le monde.
Les organisateurs de ces différents événements ont ainsi suggéré aux femmes souhaitant y prendre part de ne pas travailler ce jeudi, de ne pas dépenser d’argent et d’abandonner d’éventuelles tâches ménagères qui auraient été prévues.
En Espagne, cette grève a conduit à l’annulation de 300 trains ce jeudi, a déclaré le ministère espagnol des Transports et le réseau souterrain madrilène était également perturbé.
Des marches à Madrid, Barcelone, Bilbao, Valence et un certain nombre d’autres villes ont été organisées. Au total, au moins 200 événements ont été recensés en Espagne durant cette journée de mobilisation.
Salut BA et les autres moutons Oui, tout ça (les délocalisations) grâce à l »article 63 du TFUE. La suite, vous voulez la connaître? Grâce à la directive sur les travailleurs détachés, quand il ne sera pas possible de délocaliser, des travailleurs provenant de pays de l »UE où le smic est minable viendront remplacer les travailleurs français, puisque la seule contrainte sera de verser les cotisations patronales à hauteur de ce que le pays d »origine du travailleur embauché exige La courbe du chômage n »est pas prête de s »inverser en France