Un ancien rédacteur en chef de premier plan devenu ministre adjoint des Affaires étrangères fait partie des derniers nommés dans le volet indien du mouvement #MeToo.
Une vague d’accusations en Inde
MJ Akbar est accusé d’avoir eu un comportement de prédateur, notamment pour avoir invité de jeunes femmes dans des chambres d’hôtel pour des « réunions ».
Ni M. Akbar ni le ministère indien des Affaires étrangères n’ont répondu aux accusations portées contre lui.
Un autre ministre, Maneka Gandhi, a déclaré que toutes les allégations, y compris celles contre des politiciens, devaient être examinées.
M. Akbar est pour le moment la personne la plus âgée à avoir été nommée dans la série d’accusations en Inde portées contre des humoristes, journalistes, auteurs, acteurs et cinéastes au cours des derniers jours.
Il est l’un des hommes de presse les plus influents en Inde, a édité des journaux en langue anglaise de premier plan, tels que The Telegraph et The Asian Age.
C’est la journaliste Priya Ramani qui l’a accusé ce lundi 8 octobre pour la première fois. Elle avait retweeté un article qu’elle avait écrit pour Vogue India il y a un an et intitulé « Aux Harvey Weinsteins du monde », où elle racontait ce qu’elle avait appelé sa première expérience de harcèlement au travail.
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