Au Zimbabwe, un groupe de défense des droits de l’homme nommé par le gouvernement a accusé des soldats de recourir à systématiquement à la torture pour réprimer des manifestations.
Violente répression
La Commission des droits de l’homme du Zimbabwe a vivement critiqué les autorités pour avoir eu recours à des troupes pour réprimer des manifestations.
Les troubles ont éclaté il y a plus d’une semaine à la suite d’une forte hausse des prix du carburant.
Un porte-parole du gouvernement a défendu la répression, déclarant à la BBC : « Lorsque la situation devient incontrôlable, il faut un peu de fermeté. »
Des informations font état d’agressions prétendument perpétrées par l’armée dans diverses parties de la capitale, Harare.
Des soldats à Harare ont été vus frappant un groupe important de conducteurs de minibus ce mardi 22 janvier.
Andrew Harding, correspondant de la BBC à Harare, a parlé à un homme qui a déclaré que lui et une trentaine d’autres avaient été arrêtés et battus par des soldats pendant « plus de deux heures ».
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