L’un des principaux leaders républicains américains, Paul Ryan, a minimisé l’impact potentiel de la publication d’un mémo accablant le FBI d’un ancien assistant de Donald Trump.
Le camp républicain minimise son impact
Le président Donald Trump devrait approuver la publication de ce document qui suggère que le FBI a abusé de ses pouvoirs pour espionner Carter Page, un ancien assistant de Donald Trump.
Paul Ryan, actuel Président de la Chambre des représentants aux États-Unis, a pour sa part nié que la publication de cette note visait à saper l’enquête du FBI sur les liens présumés entre l’équipe de campagne de Donald Trump et la Russie.
« Le Congrès avait le devoir de constater que le FBI a usé de ses droits de surveillance correctement », a affirmé Paul Ryan.
Le Président de la Chambre des représentants, membre du Parti républicain, répondait aux critiques de démocrates au sujet de ce mémo, commandé par le chef républicain du comité de renseignement de Chambre, Devin Nunes, qui serait selon eux une tentative de faire dérailler l’enquête du conseiller spécial Robert Mueller au sujet des soupçons de collusion.
James Comey, qui dirigeait le FBI au moment des élections de 2016 et qui a été limogé par le nouveau président, a suggéré que l’agence faisait l’objet d’une « chasse aux sorcières » de la part de « belettes et menteurs ».
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